
Un diaporama proposé par l'Orient-Le Jour (Liban) pour rappeler que la population cicile de Gaza souffre aussi.
Un secouriste courant dans les rues de Gaza, avec un enfant blessé par un bombardement israélien, le 9 octobre 2023. REUTERS/Stringer
Dans le dossier
Guerre Hamas-Israël : notre dossier spécial
Trois jours après le début de l’offensive du Hamas contre Israël, Israël a imposé un « siège total » à la bande de Gaza, par ailleurs lourdement bombardée. Des dizaines de milliers de soldats israéliens sont déployés autour de la bande de Gaza, mince territoire côtier peuplé de 2,3 millions de Palestiniens et contrôlé par le Hamas depuis 2007. Dans la foulée de l'annonce du « siège » de Gaza, le ministre israélien de l'Energie, Israël Katz, a ordonné la « coupure immédiate » de l'approvisionnement en eau de cette enclave palestinienne à laquelle Israël fournit 10% de la consommation annuelle. Les autorités locales faisaient état, lundi soir, de 687 tués, côté palestinien, et de 3.727 blessés.
Lundi, la bande de Gaza été la cible de centaines des frappes israéliennes. Voici les images
Tout au long de la journée, lundi, la bande de Gaza a été la cible de centaines de frappes israéliennes. REUTERS/Mohammed Salem
Certains ont le temps de fuir leurs maisons, comme ces familles à Khan Younis. REUTERS/Ibraheem Abu Mustafa
Ou ces deux personnes plus âgées, à Gaza. REUTERS/Yasser Qudih
Mais parfois, il n'y a pas d'échappatoire. ici, les ruines d'un bâtiment détruit par un bombardement israélien, à Gaza. REUTERS/Yasser Qudih
Après les frappes israéliennes, comme ici à Rafah, on évalue les dégâts, on récupère ce qui peut l'être. SAID KHATIB / AFP
Des ruines, il faut aussi sortir les survivants. REUTERS/Yasser Qudih
Ici aussi, après une frappe dans le sud de la bande de Gaza. REUTERS/Ibraheem Abu Mustafa
Evacuer au plus vite les blessés, comme ce jeune garçon blessé dans le bombardement, par Israël, de la maison de sa famille, les Tattari, à Gaza. Eyad AL-BABA / AFP
Pour d'autres, comme le neveu de cet homme, qui crie sa détresse à l'hôpital de Gaza, c'est trop tard. REUTERS/Arafat Barbakh
Pour ce bébé dans le camp de réfugiés de Jabalia, lourdement bombardé lundi, c'est trop tard aussi. REUTERS/Mahmoud Issa
Et l'on pleure les proches perdus, comme ici à Jabalia. Mahmud HAMS / AFP
Mahmud HAMS / AFP
Et dans la nuit de lundi à mardi, le déluge de feu reprenait. MAHMUD HAMS / AFP
REUTERS/Mohammed Salem