
Maglor - Pour la deuxième nuit consécutive, Israël a intensifié ses frappes aériennes sur Gaza, causant la mort de plus de 400 personnes le mardi 18 mars, selon les autorités palestiniennes. Treize autres victimes ont été enregistrées lors des bombardements de la nuit de mardi à mercredi, d'après la Défense civ
Bien que ces attaques aient marqué une rupture de la trêve précédemment établie, la branche armée du Hamas a choisi de ne pas riposter militairement. Dans un communiqué, le mouvement islamiste a exprimé sa volonté de « ne pas fermer la porte des négociations », suggérant ainsi que des discussions pourraient encore être envisagées malgré l'escalade de la violence.
Cette position contraste avec les duretés des frappes israéliennes, qui visent à neutraliser les infrastructures militaires du Hamas. Le conflit entre Israël et Gaza continue de faire des ravages, exacerbant les souffrances des civils et les tensions dans la région. Le Hamas, tout en poursuivant son discours de résistance, semble garder une certaine ouverture vers un dialogue, bien que la situation sur le terrain reste incertaine et complexe.