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Violence parlementaire : une députée tunisienne agressée

Sahbi Smara, son attaquant est, un député indépendant proche des religieux du parti de la dignité. Selon l’ONG Bawsala, entre octobre 2020 et février 2021, 23 actes d’agressions ont eu lieu au sein de la chambre basse tunisienne

(AFP) - Toute la scène a été captée par les caméras installées dans le Parlement tunisien et a provoqué une onde de choc.      

En pleine assemblée législative, une députée tunisienne depuis 2019 a été victime de coups au visage durant son discours. Abir Moussi est présidente du PDL (Parti destourien libre).

Sahbi Smara, son attaquant est, un député indépendant proche des religieux du parti de la dignité. Son intervention a été amplement dénoncée même par les opposants politiques de Mme Moussi.

Le pays du Jasmin est au bord de l’effondrement : la crise est sur tous les fronts : politiques, économiques, sociales, sanitaires.

Les plus récentes élections législatives ont laissé un parlement fractionné, avec une absence de majorité claire, où se bravent souvent les blocs laïc et religieux.

Selon l’ONG Bawsala, entre octobre 2020 et février 2021, 23 actes d’agressions ont eu lieu au sein de la chambre basse tunisienne. 

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