Maglor - Le Royaume du Maroc a réaffirmé son leadership diplomatique en contrant une nouvelle fois les tentatives répétées d'intégrer la question du Sahara au sein des discussions du Conseil des droits de l'homme de l'ONU . Malgré les efforts déployés par certaines associations et organisations pro-séparatistes, le Maroc a su préserver l'intégrité de son territoire et la légitimité de sa souveraineté sur ses provinces du Sud.
Des manœuvres systématiques et infructueuses
À chaque session du Conseil des droits de l'homme à Genève, les partisans du Front Polisario se mobilisent pour soulever la question des droits humains dans les provinces du Sud. Leur objectif : attirer l'attention de la communauté internationale et mobiliser des soutiens en leur faveur. Mais grâce à une stratégie bien rodée, la diplomatie marocaine a, à chaque fois, réussi à contrecarrer ces tentatives.
Omar Zniber , ambassadeur du Maroc et représentant permanent auprès des Nations Unies à Genève, a qualifié ces initiatives de « marginales et politisées », dénonçant les tentatives de « quels groupes isolés cherchant à détourner les objectifs du Conseil pour servir des intérêts géopolitiques étroits ».
Une reconnaissance internationale des progrès du Maroc
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme n'a pas inclus les allégations de violations dans les provinces du Sud dans ses récents rapports, preuve supplémentaire que les accusations portées par le Polisario manquent de fondements. Cette exclusion s'inscrit dans un contexte où le Maroc a réalisé d'importantes avancées en matière de droits humains, non seulement au niveau national, mais également dans ses régions du Sud.
Jouad Kassimi , chercheur en droit international, explique que la réussite marocaine réside dans la capacité du Royaume à circonscrire le dossier du Sahara à la sphère du Conseil de sécurité de l'ONU , qui demeure l'instance habilitée à traiter cette question. «Le Maroc a toujours maintenu que le dossier du Sahara est une question politique avant d'être une question de droits humains», précise-t-il.
La réponse du Maroc : une stratégie de dialogue et de coopération
Plutôt que de céder aux provocations, le Maroc a adopté une posture constructive. La diplomatie marocaine privilégie le dialogue avec ses partenaires internationaux tout en maintenant une coopération étroite avec les institutions onusiennes.
Mohamed Atif , également expert en relations internationales, rappelle que « le succès du Maroc à évincer la question des droits humains dans le Sahara du Conseil des droits de l'homme est le résultat d'efforts diplomatiques soutenus, et du maintien d'un dialogue ». permanent avec la communauté internationale ».
Le Maroc face aux défis régionaux
Ce succès au sein du Conseil des droits de l'homme ne marque pas seulement une victoire diplomatique pour le Maroc, mais témoigne également de son engagement pour la stabilité régionale. En bloquant les tentatives de politisation de la question du Sahara, le Maroc contribue à éviter une escalade des tensions dans une région déjà sensible.
Le Royaume réitère ainsi son appel à la négociation sous l'égide des Nations Unies, en faveur d'une solution politique basée sur l'autonomie des provinces du Sud, une proposition jugée sérieuse et crédible par plusieurs pays, y comprenant les membres influents du Conseil de sécurité .
Un avenir sous le signe de la paix et du dialogue
À travers ses efforts constants, le Maroc montre qu'il est non seulement capable de défendre sa souveraineté, mais aussi de proposer des solutions réalistes et viables pour la résolution de ce conflit qui dure depuis plusieurs décennies.
Le soutien international croissant à l'égard du plan d'autonomie prouve que la diplomatie marocaine, alliée fermeté et ouverture au dialogue, continue de porter ses fruits. La question du Sahara reste désormais solidement ancrée dans le cadre des discussions politiques, loin des tentatives infructueuses d'en faire une affaire de droits humains.
Cette approche proactive et responsable du Maroc renforce la crédibilité du Royaume sur la scène internationale, tout en jetant les bases d'un avenir plus stable et pacifique pour l'ensemble de la région.