La question du Sahara est aujourd’hui érigée comme une « épée de Damoclès » sur la tête du Maroc. On l'a mesuré encore tout recemment avec la décision de la Cour de Justice européenne pour un simple accord de pêche entre l'Union européenne et le Maroc. La Cour a largement de sa substance cet accord en estimant caduque la partie du texte relative au territoire du Sahara Occidental - sous administration marocaine mais faisant l'objet de revendications autonomistes. Motif : celle-ci va à l'encontre du « droit du peuple du Sahara occidental à l'autodétermination ».
Le Royaume est confronté sur la scène internationale à des adversaires qui ont fait de la question de l’exploitation illégale des ressources naturelles et des droits de l’homme, leur cheval de bataille et qui peuvent exploiter à leur profit l'absence de sens géopolitique de juristes comme ceux qui siègent à la Cour de Justice de l'Union européenne.
Un documentaire d'Euromed réalisé en 2016 met en exergue les ressources naturelles au Sahara et l'effort fourni par le Royaume depuis la récupération de ce territoire par le Maroc.... un documentaire qui répond aux accusations de ceux qui reprochent au Maroc d'exploiter illégalement les ressources naturelles du Sahara.
Territoire désertique de 266 000 km², le Sahara en question ici a des atouts importants : des ressources minières, une côte poissonneuse, des infrastructures, du vent et du soleil.
A l’appui de thèses séparatistes, les adversaires invoquent le fait que les populations locales ne bénéficient pas des retombées économiques de l’exploitation des ressources naturelles et que leurs droits les plus légitimes seraient bafoués à plus d’un égard.
Le volet économique du documentaire (notamment phosphate et pêche) servira à étayer et à rebondir sur la dimension humaine. Il s’agit de déconstruire une théorie et de faire la démonstration chiffres, images et témoignages à l’appui, de l’importance des investissements effectués par le Maroc dans les Provinces du Sud
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