En présentant le Maroc comme une destination de choix pour le tourisme sexuel et les Marocaines, comme des femmes à vendre, une série saoudienne du Ramadan énerve les internautes.

Malgré les préjugés et des regards désapprobateurs, les Marocaines sont de plus en plus nombreuses à pratiquer le surf.

(AFP) - Sur le sable de la plage populaire des Oudayas, à Rabat, où les femmes portent plus volontiers des djellabas que des maillots de bain, les filles sont de plus en plus nombreuses à affronter les préjugés avec une planche de surf.

En ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, on ne peut que se révolter en lisant l'information de cette "vente" sur internet de femmes de ménage marocaines en Arabie saoudite.

Le ministère saoudien de l’Intérieur a ouvert une enquête après la diffusion sur les réseaux sociaux de plusieurs annonces postées par des Saoudiens souhaitant abandonner leurs femmes de ménage contre de l’argent.

Nouzha Skalli a été ministre du Développement social, de la Famille et de la Solidarité au Maroc de 2007 à 2011. Elle publie une tribune dans la revue Middle East Eye où elle regrette que les associations engagées sur le terrain aux côtés des femmes victimes de violences n’aient pas été associées à l’élaboration de la loi adoptée le 14 février.