Maglor - L’affaire du meurtre de Morshid Lakhssasi, survenu à Chavelot, suscite de nombreuses interrogations et commentaires. Ce commercial de 34 ans, dirigeant d’une société de construction, a été tué par deux balles dans le dos alors qu’il se trouvait au domicile de l'accusé, un septuagénaire inconnu de la justice.
Des accusations sur son comportement
Certaines voix prétendent que Morshid Lakhssasi aurait été un commercial "agressif", insistant fortement auprès de ses prospects pour conclure des contrats. Il aurait visité à plusieurs reprises la maison où vivaient l’accusé et son frère, cherchant à proposer des travaux. Ces visites auraient-elles généré des tensions ou une animosité particulière ?
Une violence inexpliquée
Si son comportement a pu déplaire, cela peut-il justifier un tel acte ? Le meurtre de sang-froid, avec deux balles tirées dans le dos, dépasse de loin tout conflit ou désaccord commercial. La brutalité du geste soulève une question centrale : qu’est-ce qui a poussé l’accusé à commettre l’irréparable ?
L’accusé garde le silence
Le suspect de 71 ans, immédiatement interpellé, a jusqu’à présent refusé de répondre aux questions des enquêteurs, se murant dans le silence. Aucune indication ne permet de comprendre les raisons de son geste, et les investigations se poursuivent pour éclaircir les faits.
Une vie ôtée pour un différend ?
Si certaines personnes évoquent des méthodes de démarchage pressantes de la part de Morshid Lakhssasi, cela ne peut en aucun cas expliquer ni légitimer un passage à l’acte aussi violent. L’autopsie de la victime, prévue ce vendredi 22 novembre, et les suites de l’enquête pourraient apporter des éléments de réponse.
Dans un climat où chacun cherche des explications, il est crucial de ne pas perdre de vue que rien ne peut justifier l’acte de priver une personne de sa vie, quelles que soient les circonstances ou les tensions.