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Les Accords de 1968 : au cœur des tensions franco-algériennes

Maglor - Les accords de 1968 entre la France et l'Algérie sont une fois de plus au centre du débat politique. Récemment, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a dénoncé ce qu’il considère comme une "instrumentalisation" des accords par une partie de la classe politique française. Ces accords, signés peu après la fin de la guerre d'Algérie, visent à encadrer la circulation des Algériens en France. Mais plus de 50 ans après leur signature, ils demeurent un sujet épineux, certains politiciens français réclamant leur abrogation ou leur révision.

L'immigration n'est pas responsable des crises actuelles : une mise au point de François Héran

Dans une tribune publiée dans Le Monde , François Héran, sociologue de renommée et titulaire de la chaire Migrations et sociétés au Collège de France, adresse une réponse claire aux discours populistes qui accusent l'immigration de nombreux maux. Revenant sur les prises de position de Michel Barnier lors des primaires du parti Les Républicains en 2021, Héran déconstruit les idées reçues sur l'immigration, faisant que celle-ci n'est ni à l'origine de la crise budgétaire, ni des autres défis majeurs auxquels la France fait face aujourd'hui.

Un ministère de l'immigration en France : Pourquoi faire ?

Maglor - La récente proposition de rétablir un ministère de l'immigration dans le nouveau gouvernement français, sous la direction de Michel Barnier, a suscité de vives inquiétudes et interrogations. Cette idée, qui refait surface après avoir été dissoute en 2010, soulève des questions sur ses objectifs réels et ses implications pour la politique migratoire française.

Macron nomme Barnier à Matignon : une droite renforcée et une alliance avec le RN

Maglor - Le Premier ministre Emmanuel Macron a fait un choix surprenant en nommant Michel Barnier à la tête du gouvernement, malgré les résultats des élections législatives. Bien que le Nouveau Front Populaire (NFP) se soit déclaré vainqueur des élections, arrivant en tête, Macron semble ignorer le verdict populaire qu'il avait pourtant promis de respecter.

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