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Le Rapatriement des Corps des Algériens Décédés à l’Étranger : Un Nouveau Souffle pour la Diaspora

Maglor - Le rapatriement des dépouilles des Algériens décédés à l’étranger a longtemps été une source de stress et de désespoir pour de nombreuses familles. En raison des coûts exorbitants associés à cette démarche, beaucoup étaient contraints de renoncer à ramener leurs proches au pays, choisissant plutôt d’enterrer leurs défunts dans les pays d’accueil. Cependant, cette année marque une avancée significative avec la mise en œuvre d’une disposition étatique qui prend en charge les frais de rapatriement, apportant un souffle d’espoir à la communauté algérienne à l’étranger.

Bruxelles Confrontée à une Crise des tombes pour les Musulmans

Maglor - Les musulmans de Belgique, et en particulier ceux de Bruxelles, sont actuellement confrontés à une crise majeure concernant les sépultures. Le Conseil Musulman de Belgique (CMB) a récemment tiré la sonnette d’alarme : d’ici juin 2025, il n’y aura plus de tombes disponibles pour les musulmans au cimetière multiconfessionnel d’Evere, le seul lieu de la capitale belge où les rites funéraires islamiques sont respectés.

La Double Peine pour les Familles Musulmanes

La prise en charge du rapatriement des Algériens décédés à l’étranger : une avancée attendue

Maglor- La communauté algérienne établie à l'étranger peut désormais respirer un soupir de soulagement. En effet, la mise en œuvre de la disposition relative au rapatriement des dépouilles des Algériens décédés à l’étranger est enfin devenue effective. Cette nouvelle, annoncée avec satisfaction ce samedi 20 avril par le député de l’émigration, Abdelouahab Yagoubi, constitue une avancée majeure dans la résolution d'une problématique longtemps épineuse.

Algérie : Les opérations de «rapatriement» au compte-gouttes ?

Les opérations de refoulement des migrants subsahariens n’ont pas cessé, mais elles n’ont plus la même ampleur. A Oran, l’une des villes les plus touchées par les opérations de «rapatriement», les services de sécurité ont mené leur dernière action fin août. «Les refoulements sont moins fréquents qu’au début de l’année. 70 à 80% des refoulements se sont faits avant début juin», précise Fouad Hassam, militant des droits de l’homme et activiste d’Alarm Phone qui suit de près les opérations dans la ville de l’Ouest.

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