Partager sur :

La ville de Nador perd un sage, Hajj Bouziane Bellahrech

La ville de Nador vient de perdre ce vendredi 9 juillet l'un de ses habitants honorés parmi les justes et les vertueux. Il s’agit de Hajj Bouziane Bellahrech, le père de notre ami Si Mohamed Bellahrech.

C’était une personnalité reconnue depuis longtemps pour son honnêteté, son intégrité et la noblesse de son caractère. 

Dans une atmosphère de recueillement, pleine de tristesse et de chagrin, et en respectant toutes les mesures de précaution face à l'épidémie COVID, le cimetière de Sidi Salem a permis à une nombreuse assistance d’accompagner les funérailles de feu Hajj Bouziane Bellahrech, en présence des membres de sa famille, de voisins et de proches.

Au cours de la cérémonie, le professeur Sidi Al-Hajj Muhammad Al-Hadar Faqih et l'imam de la mosquée Basso ont prononcé un discours rappelant la vie du défunt, son honneur et ses vertus. 

Muhammad AL-Hadar Faqih a évoqué avec émotion comment il avait rencontré le défunt il y a plusieurs décennies.  Il a évoqué son engagement ferme à accomplir la prière du Fajr en congrégation, sans parler du reste des prières. 

Al-Haddar a également loué la simplicité de Hajj Bouziane, son humilité et ses qualité humaines, puisqu'il a confirmé qu'il ne l'avait jamais entendu dire de mal ou proférer d'insulte ou de calomnie.

Nous sommes tous attristés de voir des telles personnes nous quitter. Ce sont des gens de bonté et des exemples de patience, de loyauté et de sérénité. Que leur départ ravive en nous les lumières de l'espoir et de l'amour.

Nous présentons nos sincères condoléances à notre frère, Mohamed Belhrech, fils du défunt, et à sa famille.

 

Que Dieu ait pitié de notre cher défunt, et le mette dans ses jardins spacieux avec les deux amis, le juste et le véridique et les morts de sa famille et de ses proches.

“Ô Seigneur ! Pardonne à nos vivants et à nos morts, aux présents et aux absents, aux jeunes et aux vieux, aux hommes et aux femmes. Ô Seigneur ! Celui d’entre nous que Tu maintiens en vie, fais-le vivre sur la voie de l’Islam et celui d’entre nous dont Tu as repris l’âme, fais-le mourir dans la foi. Ô Seigneur ! Ne nous prive pas de sa récompense et ne nous égare pas après sa mort.”

« Nous vous testerons sûrement par de la crainte, de la faim et de la perte d’argent, de vies et de récoltes. Donne la bonne nouvelle aux constants. Quand une affliction leur tombe dessus, ils disent : « Nous appartenons à DIEU et à Lui nous retournons. » (Al Baqarah-155)

Français
Partager sur :