📍 Genève, Suisse
“Décès mystérieux : Les indices du monoxyde de carbone soulèvent de nouvelles questions”
Les décès tragiques de Kaoutar  Naqqad, Imane Mallah et Wafae Elarar ont laissé non seulement une communauté, mais toute une nation dans l’incompréhension. La version initiale attribuant ces décès à une overdose de drogues ou d’alcool contredit à la fois le profil des victimes et de nouvelles preuves suggérant un risque potentiel d’intoxication au monoxyde de carbone. Dans un environnement où la présence d’un chauffe-eau à gaz et d’un système de climatisation à recyclage d’air VRF pourrait constituer un scénario plausible d’empoisonnement au monoxyde de carbone, l’échec des détecteurs de gaz à déclencher une alerte suscite une vive inquiétude.
1 : Une déclaration officielle soulève des doutes sur le timing du signalement et la crédibilité des preuves
Le commissaire de police du Belize, M. Williams Chester, a déclaré lors d’une interview accordée le mardi 25 février 2025 que les premiers rapports indiquent que les jeunes filles auraient pu décéder bien avant d’être découvertes. La cause du décès serait une accumulation de liquides dans les poumons, ayant entraîné un œdème pulmonaire fatal.
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2 : Intoxication au monoxyde de carbone
L’inhalation de monoxyde de carbone (CO) peut provoquer une accumulation de liquides dans les poumons, entraînant un œdème pulmonaire non cardiogénique (Non-cardiogenic pulmonary edema), qui peut être mortel dans les cas les plus graves.
Les symptômes de l’intoxication au monoxyde de carbone varient en fonction de sa gravité. Cependant, dans les cas avancés conduisant à un œdème pulmonaire, ils peuvent inclure :
• Forte céphalée • Vertiges et confusion mentale
• Nausées et vomissements mousseux • Détresse respiratoire
• Fatigue générale et épuisement • Accélération du rythme cardiaque
• Perte de conscience ou coma
• Le complexe hôtelier était-il au courant du décès dès le début, mais a-t-il délibérément retardé l’alerte à la police afin de balayer la scène et de manipuler les preuves pour qu’elles correspondent à la version qu’ils souhaitaient présenter ?
• Cette déclaration soulève des questions sur l’intégrité des mesures prises dans les premières heures suivant l’incident et sur la possibilité d’une complicité ou d’une tentative de dissimulation de la vérité avant l’arrivée des autorités officielles sur les lieux.
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3 : Analyse juridique des faits et des circonstances
D’après les registres officiels, la dernière entrée confirmée des jeunes femmes dans le complexe hôtelier a eu lieu à 19h00 le jeudi 20 février 2025, et leur disparition n’a été signalée qu’à 11h30 le samedi 22 février 2025. Cela signifie que 40 heures se sont écoulées sans qu’aucune mesure ne soit prise par l’établissement pour vérifier leur absence ou s’interroger sur l’inoccupation prolongée de leur suite.
La question se pose alors : le complexe n’a-t-il réellement pas remarqué leur absence, ou était-il au courant du drame dès le début mais a délibérément choisi de retarder la déclaration afin de nettoyer, ventiler la chambre et dissimuler les preuves ?
Si les caméras de surveillance ont bien enregistré leur entrée dans la suite à 19h00 le jeudi, ont-elles également capté la présence d’une bouteille de tequila dans la chambre ? Ont-elles filmé le moment où les femmes de ménage sont entrées dans la suite ? Leur présence a-t-elle été remarquée de manière inhabituelle, avec des allées et venues répétées ?
De plus, a-t-on vérifié qu’aucune preuve n’a été altérée ou falsifiée ? Les témoignages des employées de l’hôtel ont-ils été confrontés aux enregistrements vidéo, d’autant plus qu’une caméra était située près de la suite, comme l’a révélé une séquence diffusée montrant l’arrivée de la police sur les lieux ?
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4 : Fuites choquantes : La station accusée d’avoir nettoyé la scène avant l’arrivée de la police.
Fuites choquantes : La station accusée d’avoir nettoyé la scène avant l’arrivée de la police.
Certains témoignages que nous avons recueillis indiquent que les décès auraient été découverts avant leur annonce officielle et que la scène aurait été nettoyée et des preuves falsifiées avant l’arrivée des autorités.
De plus, des informations suggèrent qu’une employée de ménage aurait confié à une amie que la direction du complexe aurait acheté la bouteille de tequila et les drogues avant l’arrivée de la police, et que la suite aurait été aérée et nettoyée pour effacer toute trace pouvant éveiller des soupçons sur l’incident.
Conclusion et analyse
Les circonstances entourant le décès de Kaoutar  Naqqad, Imane Mallah et Wafae Elarar , révèlent des contradictions majeures entre la version officielle et les nouvelles preuves émergentes.
Alors que la cause des décès a été attribuée à une overdose de drogues ou d’alcool, l’environnement du complexe – comprenant un chauffe-eau à gaz et un système de climatisation VRF – soulève une hypothèse sérieuse d’intoxication au monoxyde de carbone, rendant d’autant plus inquiétant le dysfonctionnement supposé des détecteurs de gaz.
Le retard de 40 heures dans le signalement de l’incident et les déclarations officielles suggérant que les victimes étaient déjà décédées bien avant leur découverte renforcent les soupçons d’un éventuel acte de dissimulation. Ces doutes sont d’autant plus renforcés par les accusations de nettoyage et d’aération de la chambre avant l’arrivée des autorités.
Les questions cruciales restent donc sans réponse :
• Le complexe était-il au courant des décès dès le début ?
• Les preuves ont-elles été manipulées pour masquer la véritable cause du décès ?
• Pourquoi les caméras de surveillance n’ont-elles détecté aucun mouvement suspect avant la découverte des corps ?
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Tous ces éléments soulignent l’urgence d’une enquête indépendante et impartiale afin de faire la lumière sur cette affaire et de garantir que justice soit rendue, sans qu’aucune vérité ne soit occultée.
Huitième partie { à suivre }
Pour consulter les détails de l’affaire, veuillez visiter :
https://maglor.fr/mre/un-mystere-entoure-la-mort-de-trois-femmes-au-belize-lintoxication-au-monoxyde-de-carbone-en