Maglor - Dans un article récent, Aziz Rabbah, ancien dirigeant du Parti de la justice et du développement et fondateur de l'initiative "La Patrie d'abord", a exprimé ses préoccupations quant à la corruption au sein des élites et des institutions au Maroc. M. Rabbah a souligné la nécessité de lutter contre ces pratiques afin de garantir un avenir meilleur pour le Maroc.
L'ancien leader politique a commencé son billet en reconnaissant que "tout pays et toute société ne sont pas exempts de déviants, de corrompus, de corrupteurs et de traîtres à la confiance". Il a souligné que cette dualité entre le bien et le mal est inhérente à la création de Dieu.
Aziz Rabbah a exprimé sa préoccupation lorsque la corruption s'infiltre parmi les élites responsables des intérêts de l'État, de la société et des citoyens. Selon lui, cela crée un mauvais exemple, ouvrant la porte à la propagation de la corruption et à la compétition pour utiliser les moyens les plus vils pour l'adopter, la propager et échapper à ses conséquences.
La situation devient encore plus critique, selon M. Rabbah, lorsque les institutions de sensibilisation, de gestion, de législation, de contrôle et de répression sont incapables ou affaiblies face à cette marée de corruption dévastatrice, surtout lorsqu'elle s'infiltre dans ces mêmes institutions.
Dans ce contexte, Aziz Rabbah a appelé les vrais serviteurs de l'État, les patriotes progressistes et les élites honnêtes et influentes du pays à agir. Il estime qu'il est de leur devoir religieux et national de se lever contre la corruption avant qu'elle n'affaiblisse davantage l'immunité de l'État, de la société et du citoyen.
Cet appel de M. Rabbah met en lumière l'importance cruciale de la lutte contre la corruption pour préserver l'intégrité des institutions marocaines et assurer un avenir prospère pour le Royaume.