Chaque année, la communauté musulmane à travers le monde célèbre l'Aïd el-Fitr, une fête marquant la fin du mois sacré du Ramadan. Cette célébration, aussi connue sous le nom d'Aïd el-Seghir (la petite fête), est l'une des deux dates centrales de l'islam, l'autre étant l'Aïd el-Kébir ou Aïd el-Adha. Pour les musulmans, l'Aïd el-Fitr est bien plus qu'une simple fête religieuse ; c'est un moment de réjouissance, de partage et de solidarité.

Maglor - À mesure que le mois sacré de Ramadan touche à sa fin, la communauté musulmane du monde entier se prépare à célébrer l'Aïd el Fitr, marquant ainsi la conclusion d'un mois de jeûne, de prière et de réflexion spirituelle. Cette année, l'Aïd el Fitr est attendu avec une anticipation particulière, non seulement en raison de son importance religieuse, mais aussi en raison des défis et des épreuves auxquels la communauté a dû faire face.

Maglor - Paris, le 1er avril 2024 - À l'approche de l'Aïd El Fitr, fête marquant la fin du mois sacré de Ramadan, le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) adresse un communiqué à l'ensemble de la communauté musulmane pour annoncer les dispositions relatives à l'aumône de Zakat El Fitr.

Voici un article récemment reçu pour publication qui traite de la réélection de Ghaleb Bencheikh à la présidence de la Fondation de l'Islam de France. Cette réélection, qui a eu lieu le mardi 27 février 2024, est examinée en détail, mettant en évidence les tensions politiques internes au sein de l'organisation, notamment entre les représentants gouvernementaux et les personnalités qualifiées. L'article expose également les tentatives politiques visant à favoriser un autre candidat soutenu par Chems Eddine Hafiz, qui ont finalement échoué.

Le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), l'Union des Mosquées de France (UMF) et le Rassemblement des Musulmans de France (RMF) condamnent l'attaque au couteau de samedi à Paris.

La zakat al-fitr, l'aumône du Ramadan, augmente cette année 2018. La revalorisation est conséquente, à la hauteur du laps de temps écoulé, depuis le passage à l'euro, sans que les organisations musulmanes historiques en France ne s'en préoccupent. Pourtant, il était grand temps de réévaluer la somme. Pourquoi ? Et qu'en disent les fédérations musulmanes ? Réponses.

Sans Boubakeur qui boudait dans son coin, le président de la République Emmanuel Macron a livré pour la première fois, jeudi 4 janvier, ses vœux aux responsables français des cultes reçus à l’Élysée, poursuivant ainsi une tradition instaurée par ses prédécesseurs. Les autorités représentatives du culte musulman étaient présents et représentées par Ahmet Ogras et Anouar Kbibech.

La grande mosquée de Paris (GMP), mécontente de constater que son recteur, Dalil Boubakeur, n’a pas été invité aux vœux qu’Emmanuel Macron doit présenter jeudi aux autorités religieuses, a annoncé ce mercredi son retrait du Conseil français du culte musulman (CFCM).