
Le 22 février 2025, trois femmes américaines d’origine marocaine — Kaoutar Naqqad (23 ans), Imane Mallah (24 ans) et Wafae Elarar (26 ans) — ont été retrouvées mortes dans des circonstances mystérieuses au Royal Kahal Beach Resort à San Pedro, Belize. Les victimes, originaires de Revere, Massachusetts, et de descendance marocaine, s’étaient rendues à San Pedro, Belize, pour des vacances de cinq jours.
Les trois jeunes femmes sont arrivées au Royal Kahal Resort le mercredi 19 février 2025 et ont séjourné dans la suite “Oiseau du Paradis”. Elles prévoyaient de rentrer aux États-Unis le dimanche 23 février, mais le destin en a décidé autrement.
Depuis l’annonce de la tragédie, les médias béliziens n’ont pas respecté la dignité des victimes, se précipitant pour diffuser des allégations non vérifiées selon lesquelles une overdose de drogue serait la cause du décès, et ce, sans attendre les résultats des analyses toxicologiques ni un rapport officiel d’autopsie.
Ces spéculations irresponsables n’ont pas seulement offensé la mémoire des victimes, mais elles ont également contribué à induire l’opinion publique en erreur, renforçant ainsi un récit biaisé dénué de toute base scientifique ou factuelle. Toutefois, l’attention médiatique intense autour de cette affaire a permis d’attirer l’attention internationale, exerçant ainsi une pression accrue sur les autorités pour mener une enquête approfondie et révéler toute la vérité.
L’affaire a suscité une vague d’indignation internationale, notamment en raison des contradictions flagrantes dans les déclarations officielles de la police bélizienne. Le 25 février 2025, Williams Chester, porte-parole de la police de Belize, a annoncé que l’autopsie préliminaire indiquait un œdème pulmonaire comme cause du décès, tout en insistant sur la nécessité d’attendre les résultats des tests toxicologiques avant de tirer toute conclusion définitive.
Il a également mentionné la présence de traces de consommation de drogue et d’alcool, ajoutant une nouvelle dimension à l’affaire en évoquant la découverte d’une bouteille de tequila dans la chambre. Malgré ces déclarations, il a assuré que les autorités n’écartaient aucune hypothèse et que l’enquête restait en cours.
1 : Des révélations accablantes dévoilent une manipulation des preuves et une altération du cours de l’enquête
Dans ce contexte troublant, l’opinion publique internationale a eu accès à des informations inquiétantes suggérant que les jeunes femmes seraient décédées à la suite d’une intoxication au monoxyde de carbone, et non d’une overdose de drogue, comme l’avaient prétendu certains médias béliziens.
Les éléments circulant indiquent une manipulation méthodique des preuves : la scène du crime aurait été soigneusement nettoyée et la chambre entièrement ventilée avant l’intervention de la police, dans le but d’éliminer toute trace du gaz toxique qui aurait pu révéler la véritable cause du décès.
De plus, il est fortement soupçonné que de nouvelles preuves aient été fabriquées, notamment par l’ajout de drogues et d’une bouteille de tequila dans la pièce, afin d’orienter l’enquête vers une toute autre hypothèse. Ces éléments soulèvent de sérieuses questions sur l’intégrité de l’enquête en cours et sur les acteurs qui pourraient être impliqués dans la dissimulation de la vérité.
Ces nouvelles révélations renforcent les doutes quant à l’indépendance des autorités béliziennes et leur volonté de faire éclater la vérité sans ingérence ni manipulation. Elles accentuent également la pression internationale pour exiger qu’un organisme neutre prenne en charge l’enquête, garantissant ainsi une transparence totale sur les circonstances réelles de ces décès.
2 : Intervention des États-Unis et rapatriement des corps à Boston
Face aux doutes grandissants sur les circonstances mystérieuses du décès et aux contradictions des déclarations officielles, les États-Unis sont intervenus pour garantir une enquête plus transparente. Dans le cadre de cette intervention, il a été décidé de rapatrier les corps à Boston, où ils seraient soumis à un examen médico-légal approfondi sous la supervision d’experts américains spécialisés.
Cette évolution intervient alors que la pression internationale s’intensifie pour faire éclater la vérité, notamment après la diffusion d’informations alarmantes suggérant une manipulation des preuves au Belize. La nouvelle autopsie aux États-Unis est perçue comme une étape cruciale pour élucider les causes réelles du décès, à l’abri de toute influence politique ou tentative de dissimulation des preuves.
3 : Arrivée et inhumation des jeunes Marocaines à Boston : des questions sur les conditions de conservation des corps
Le vendredi 28 février 2025, les dépouilles de Kaoutar Naqqad (23 ans), Imane Mallah (24 ans) et Wafae Elarar (26 ans) sont arrivées à l’aéroport international de Boston, aux États-Unis, à 16h15.
Les corps ont été remis à un représentant du consulat marocain à Boston et aux forces de l’ordre locales, en présence d’une équipe d’experts médico-légaux américains. Ceux-ci ont supervisé leur transfert à la morgue pour procéder à une deuxième autopsie, conformément aux protocoles médicaux américains.
Cependant, des sources journalistiques et d’investigation au Belize ont révélé que les corps auraient subi une négligence grave, notamment en ce qui concerne leurs conditions de conservation et la gestion des températures. Cela soulève des questions cruciales sur l’état des dépouilles à leur arrivée à Boston, leur éventuelle détérioration due à la décomposition et la possibilité que cette négligence ait été intentionnelle dans le but de compromettre l’autopsie américaine et d’effacer toute preuve.
Comment les corps ont-ils été traités depuis le moment du décès ? Ont-ils été préservés dans des conditions adéquates ou sont-ils arrivés dans un état altéré ?
4 : Les funérailles et l’inhumation
Les funérailles ont eu lieu le dimanche 2 mars 2025. La cérémonie a débuté à 14h00 au lycée de Revere (101 School Street, Revere, Massachusetts 02151) avant de se diriger vers le Centre culturel de la Société islamique de Boston (100 Malcolm X Boulevard, Roxbury, Massachusetts 02120).
Après la prière d’Al-Asr (15h05), la prière funéraire a été célébrée en hommage aux défuntes au Centre culturel de la Société islamique. Ensuite, leurs corps ont été inhumés au cimetière Gardens of Gethsemane (670 Baker Street, West Roxbury, Massachusetts 02132).
La question essentielle demeure : les corps ont-ils subi des dommages compromettant la possibilité de déterminer les causes réelles du décès ? Et si tel est le cas, s’agit-il d’une négligence involontaire ou d’un acte délibéré visant à dissimuler la vérité ?
5 : Température optimale pour la conservation des corps avant une autopsie
Pour préserver un corps en vue d’une autopsie, il doit être réfrigéré à une température comprise entre 2 et 4°C. Ce niveau de refroidissement permet de ralentir le processus de décomposition et facilite les examens médicaux ultérieurs.
Si l’autopsie doit être réalisée dans les heures suivant le décès, le corps peut être conservé à température ambiante dans une pièce froide (inférieure à 10°C). En revanche, si l’examen est prévu plusieurs jours après, il doit être placé dans une chambre mortuaire à 2-4°C.
Dans certains cas nécessitant une conservation prolongée, le corps peut être congelé à -20°C, mais cela peut endommager certains tissus, ce qui pourrait entraver certaines analyses médico-légales.
6 : Intégrité des enquêtes sur ces décès : interrogations internationales sur les normes médico-légales
Ces interrogations reflètent l’inquiétude croissante de la communauté internationale quant à l’intégrité des enquêtes et au respect des normes médicales et juridiques dans la gestion des corps, depuis le moment du décès jusqu’à leur arrivée aux États-Unis.
Elles visent à clarifier comment les dépouilles ont été traitées pendant cette période, soulevant des doutes sur le respect des procédures médicales adéquates par les autorités concernées.
De plus, ces préoccupations mettent en lumière la possibilité d’une manipulation ou d’une négligence délibérée pouvant influencer directement les résultats de l’autopsie et entraver la révélation de la vérité complète sur les circonstances du décès.
1. Quelle a été la température et quelles procédures ont été suivies pour la conservation des corps depuis le moment du décès jusqu’à leur arrivée à Boston ?
2. Existe-t-il des preuves ou des témoignages confirmant que les corps n’ont pas été conservés selon les normes médicales, ce qui aurait entraîné leur détérioration ?
(Selon des informations fuitées par la presse bélizienne, les corps n’auraient pas été conservés dans des conditions adéquates, ce qui aurait causé des dommages avant leur arrivée à la médecine légale américaine.)
3. Y a-t-il des indices suggérant une négligence intentionnelle dans la conservation des corps, dans le but de compromettre la seconde autopsie aux États-Unis ?
4. Quel impact l’état des corps à leur arrivée à Boston pourrait-il avoir sur la précision des investigations médico-légales et judiciaires ?
5. Quelles sont les actions légales envisageables si des manquements ou des manipulations dans la conservation des corps sont avérés ?
{ Les résultats de l’enquête et de l’autopsie à Belize n’ont pas encore été annoncés, et ceux de la réautopsie aux États-Unis ne sont pas encore publiés. En attendant, nous espérons que la justice suivra son cours avec rigueur et que toute la vérité sera révélée sans manipulation ni dissimulation.}
Partie 9
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