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France-Algérie : Vers une relance de la coopération sur les expulsions

Maglor- Les expulsions des Algériens en situation irrégulière en France pourraient connaître un tournant décisif dans les prochains jours. Une réunion inédite entre préfets français et consuls algériens, prévue la semaine prochaine, marque une volonté des deux États de rétablir une coopération migratoire longtemps restée au point mort.

Nouvelle arrestation d’un influenceur algérien : DJ Rafik interpellé à Paris

Maglor - Rafik Meziane, connu sous le pseudonyme de « DJ Rafik » sur TikTok, où il compte plus de 36 000 abonnés, a été arrêté ce mercredi matin dans le XIIIe arrondissement de Paris. L’annonce a été faite sur le réseau social X par le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui a salué le professionnalisme des forces de l’ordre. Selon le ministre, DJ Rafik aurait « appelé à commettre des actes violents sur le territoire français ». « Ne rien laisser passer », a-t-il ajouté.

Fin des accords franco-algériens de 1968 et des passe-droits : les mesures d’urgence de Gabriel Attal contre le régime d'Alger

Maglor - Dans une tribune publiée le 10 janvier dans Le Figaro, l'ancien Premier ministre français Gabriel Attal a exprimé sa vive inquiétude face à la montée de la tension entre la France et l'Algérie. Cette escalade fait suite à l’arrestation de l’écrivain Boualem Sansal, qualifiée par Attal de « prise d’otage », et aux actes de haine alimentés par des influenceurs algériens appelant à la violence sur le sol français. Pour l’ancien Premier ministre, ces provocations marquent un tournant dans les relations entre les deux pays et appellent à des mesures fermes.

Crise diplomatique entre l’Algérie et la France : une expulsion controversée ravive les tensions

Maglor- L’expulsion récente d’un ressortissant algérien de France, suivie de son refoulement par les autorités algériennes, a déclenché une réaction ferme de la part d’Alger. Ce samedi 11 janvier 2025, le ministère algérien des Affaires étrangères a publié un communiqué dénonçant une série de "violations des droits" du citoyen concerné et un "mépris des conventions bilatérales".

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